Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie - Le promoteur: AbbVie
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M15-819 : étude de phase 1 évaluant l’efficacité et la sécurité de l'ABBV-428 seul ou en association avec du nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides de stade avancé. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. La neurotensine est un modulateur de l’effet de la dopamine jouant un rôle dans la régulation de l’activité du pancréas et dans la croissance et la prolifération des cellules. La neurotensine est produite dans le cerveau et dans les cellules endocrines de l’intestin. La quantité de cette hormone dans le sang est finement contrôlée par le corps mais il arrive qu’elle échappe avec son récepteur à ce contrôle. Cette absence de régulation est à l’origine de plusieurs tumeurs. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le nivolumab est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. L’ABBV-428 est un nouvel anticorps conçu pour stimuler le ligand CD40 et déclencher une réponse immunitaire contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité de l’ABBV-428 seul ou en association avec du nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides de stade avancé. Les patients sont répartis en 2 groupes et 4 sous-groupes : Les patients du 1er groupe recevront de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines. La dose de l’ABBV-428 sera régulièrement augmentée par groupe de patients, afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la phase d’expansion de dose, à des groupes de patients selon leur maladie. Au premier, deuxième et troisième sous-groupe. Lors de la phase d’expansion de dose, les patients seront répartis en 3 sous-groupes (sous-groupes A, B,C) en fonction de leur maladie. Ils recevront tous de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée dans le premier groupe. Les patients du 2ème groupe recevront de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines associé à du nivolumab à la dose et à la fréquence approuvées. La dose de l’ABBV-428 sera régulièrement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer, lors de la phase d’expansion de dose, à un groupe de patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Les patients du 4ème sous-groupe (sous-groupe D) recevront de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines, à la dose la mieux adaptée déterminée dans le 2ème groupe, associé à du nivolumab à la dose et à la fréquence approuvées. Les patients seront suivis jusqu’à 2 ans après le début du traitement de l’étude.

Essai clos aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M15-862 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance de l’ABBV-927 seul ou en association avec de l’ABBV-181 chez des patients ayant une tumeur solide de stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes. Ceux sont les plus fréquents puisqu’elles représentent 90% des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) et les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (exemple : cancer de l’os). Un cancer métastatique signifie que les cellules cancéreuses ont migré à travers le corps et ont colonisé un ou plusieurs autre(s) tissu(s), loin de la tumeur d’origine. Différents organes peuvent être colonisés par ces métastases : os, foie, cerveau, poumon. La nature d’un cancer reste toujours déterminée par son point de départ. Il existe différents types de traitements qui peuvent être utilisés seuls ou en association. La chirurgie et la radiothérapie sont des traitements locaux du cancer, c’est-à-dire qu’ils agissent localement sur les cellules cancéreuses de l’organe atteint ou dans les ganglions. La chimiothérapie, l’hormonothérapie, l’immunothérapie et les thérapies ciblées sont des traitements qui agissent par voie générale, c’est-à-dire qu’ils agissent sur les cellules cancéreuses dans l’ensemble du corps. L’ABBV-927 est un anticorps ciblant la protéine CD40, qui en se fixant à cette dernière, déclenche la prolifération et l'activation des lymphocytes B ainsi que d’autres types de cellules et active les lymphocytes T. Les lymphocytes T activés vont reconnaitre les cellules cancéreuses et les éliminer. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. L’ABBV-181 est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la multiplication des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance de l’ABBV-927 seul ou en association avec de l’ABBV-181 chez des patients ayant une tumeur solide de stade avancé. L’étude comprendra 2 étapes : Lors de la 1ère étape, les patients seront répartis en 3 groupes : Les patients du 1er groupe recevront de l’ABBV-927 en 2 doses initialement toutes les 4 semaines. La dose de l’ABBV-927 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la 2e étape. Les patients du 2ème groupe recevront de l’ABBV-927 en 2 doses initialement toutes les 4 semaines. La dose de ABBV-927 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la 2e étape. Les patients du 3ème groupe recevront de l’ABBV-927 en 2 doses initialement toutes les 4 semaines en association avec l’ABBV-181. La dose de ABBV-927 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la 2e étape. Lors de la 2e étape, les patients seront répartis en 3 groupes : Les patients du 1er et du 2ème groupe recevront de l’ABBV-927 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1re étape. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe reçoivent de l’ABBV-927 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1ère étape, en association avec de l’ABBV-181. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 24 mois.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M15-8921 : étude de phase 1 visant à déterminer la dose maximale tolérée, la dose recommandée pour la phase 2, la sécurité d’emploi et la pharmacocinétique de l’ABBV-181 en monothérapie et en association à d’autres thérapies anticancéreuses chez des patients ayant des tumeurs solides. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’ABBV-181 est un anticorps anti-PD1 qui a montré dans les études précliniques une activité antinéoplasique due à une stimulation des cellules T du système immunitaire améliorant leur capacité à reconnaître et détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de déterminer la dose maximale tolérée, la dose recommandée pour la phase 2, la sécurité d’emploi et la pharmacocinétique de l’ABBV-181 en monothérapie et en association à d’autres thérapies anticancéreuses chez des patients ayant des tumeurs solides. L’étude comprendra 2 parties. Dans la première partie, les patients recevront de l’ABBV-181 seul, en escalade de dose avec 2 administrations pour chaque cure de 28 jours, puis en expansion de dose avec 1 ou 2 administrations pour chaque cure de 28 jours. La dose d’ABBV-181 sera progressivement augmentée afin de déterminer la dose receommandée à administrer lors de la deuxième partie de l’étude. Dans la deuxième partie, les patients recevront de l’ABBV-181 à la dose recommandée, déterminée lors de la première partie, toutes les 3 semaines associé au rovalpituzumab tesirine avec 2 administrations toutes les 6 semaines. Les patients seront suivis pendant 2 ans maximum.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 5 ans

Étude MERU : étude de phase 3, randomisée, comparant l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab tesirine associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il y a deux types principaux de cancer du poumon à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15% des cancers du poumon diagnostiqués. Le traitement de référence est une association de 2 agents chimiothérapeutiques, cisplatine ou carboplatine associé avec de l’étoposide. Le rovalpituzumab tesirine est un anticorps conjugué ciblant la protéine DLL3 sur les cellules tumorales en inhibant ainsi leur prolifération. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du rovalpituzumab tesirine toutes les 6 semaines associé à de la dexaméthasone 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo toutes les 6 semaines, associé à un second placebo 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 31 mois.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude MERU : étude de phase 3, randomisée, comparant l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab tesirine associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il y a deux types principaux de cancer du poumon à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15% des cancers du poumon diagnostiqués. Le traitement de référence est une association de 2 agents chimiothérapeutiques, cisplatine ou carboplatine associé avec de l’étoposide. Le rovalpituzumab tesirine est un anticorps conjugué ciblant la protéine DLL3 sur les cellules tumorales en inhibant ainsi leur prolifération. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du rovalpituzumab tesirine associé à de la dexaméthasone, comme traitement de maintenance, par rapport à un placebo du rovalpituzumab associé à un placebo de la dexaméthasone, chez des patients ayant un cancer du poumon de stade avancé précédemment traité par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du rovalpituzumab tesirine toutes les 6 semaines associé à de la dexaméthasone 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo toutes les 6 semaines, associé à un second placebo 3 fois par jour, pendant 3 jours, répété toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété avec une pause toutes les 18 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 31 mois.

Essai clos aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M16-074 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance de ABBV-368 en monothérapie et en association chez des patients ayant des tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif (exemple : cancer des os). ABBV-368 est un anticorps qui stimule le système immunitaire du patient en se liant à un récepteur, induisant la prolifération de cellules immunitaires (appelées lymphocytes T) dirigés contre les cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance de ABBV-368 en monothérapie et en association chez des patients ayant des tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. L’étude se déroulera en 2 étapes : Dans la 1ère étape (étape à doses variables), les patients recevront de l’ABBV-368 toutes les 2 semaines. La dose de l’ABBV-368 sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété tous les 28 jours pendant 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Dans la 2ème étape (étape d’expansion de groupes), les patients seront répartis en 2 groupes selon leur type de cancer : Les patients du groupe 2A ayant un cancer du sein triple négatif recevront de l’ABBV-368 seul toutes les 4 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape. Le traitement sera répété pendant 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2B ayant un carcinome de la tête et du cou recevront de l’ABBV-368 toutes les 4 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape associé à de l’ABBV-181. Le traitement sera répété pendant 2 ans ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 1 an et demi maximum après la fin du traitement à l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 5 ans

Étude M15-819 : étude de phase 1 évaluant l’efficacité et la sécurité de l'ABBV-428 seul ou en association avec du nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides de stade avancé. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. La neurotensine est un modulateur de l’effet de la dopamine jouant un rôle dans la régulation de l’activité du pancréas et dans la croissance et la prolifération des cellules. La neurotensine est produite dans le cerveau et dans les cellules endocrines de l’intestin. La quantité de cette hormone dans le sang est finement contrôlée par le corps mais il arrive qu’elle échappe avec son récepteur à ce contrôle. Cette absence de régulation est à l’origine de plusieurs tumeurs. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le nivolumab est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. L’ABBV-428 est un nouvel anticorps conçu pour stimuler le ligand CD40 et déclencher une réponse immunitaire contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité de l’ABBV-428 seul ou en association avec du nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides de stade avancé. Les patients sont répartis en 2 groupes et 4 sous-groupes : Les patients du 1er groupe recevront de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines. La dose de l’ABBV-428 sera régulièrement augmentée par groupe de patients, afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la phase d’expansion de dose, à des groupes de patients selon leur maladie. Au premier, deuxième et troisième sous-groupe. Lors de la phase d’expansion de dose, les patients seront répartis en 3 sous-groupes (sous-groupes A, B,C) en fonction de leur maladie. Ils recevront tous de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée dans le premier groupe. Les patients du 2ème groupe recevront de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines associé à du nivolumab à la dose et à la fréquence approuvées. La dose de l’ABBV-428 sera régulièrement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer, lors de la phase d’expansion de dose, à un groupe de patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. Les patients du 4ème sous-groupe (sous-groupe D) recevront de l’ABBV-428 toutes les 2 semaines, à la dose la mieux adaptée déterminée dans le 2ème groupe, associé à du nivolumab à la dose et à la fréquence approuvées. Les patients seront suivis jusqu’à 2 ans après le début du traitement de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude TAHoe : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du rovalpituzumab tesirine par rapport au topotécan chez des patients ayant un cancer des poumons à petites cellules de stade avancé ou métastatique avec une forte expression du gène DLL3 et en progression après une chimiothérapie de première ligne à base de platine. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15 % des cancers du poumon diagnostiqués. Ce type de cancer est très sensible à la chimiothérapie et à la radiothérapie. Le topotécan est un inhibiteur de la topoisomérase 1, enzyme qui joue un rôle essentiel dans la multiplication des cellules cancéreuses, cela induit des lésions de l’ADN ainsi que la mort de ces cellules cancéreuses. Dans certains cas, les cellules cancéreuses arrivent à réveiller des gènes qui étaient actifs avant la naissance de l’individu et qui normalement sont désactivés après sa naissance. Parmi ces gènes il y a la DLL3 qui contrôle la prolifération et la spécialisation de certains types de cellules. Le rovalpituzumab tesirine est un anticorps qui cible la protéine produite par le gène DLL3 et la bloque. Il inhibe ainsi la prolifération des cellules cancéreuses qui produisent cette protéine. L’objectif de cette étude sera de comparer l’efficacité du rovalpituzumab tesirine par rapport au topotécan chez des patients ayant un cancer des poumons à petites cellules en progression ou métastatique traité précédemment par une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Les patients seront répartis aléatoirement en deux groupes. Les patients du 1er groupe recevront du rovalpituzumab tesirine tous les 42 de jours jusqu’à 2 fois. Les patients du 2ème groupe recevront du topotécan du premier au cinquième jour de chaque cure de 3 semaines. Les patients seront suivis jusqu’à 34 mois après leur entrée dans l’étude.

Essai clos aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M16-300 : étude de phase 1/2 évaluant la sécurité et l’éfficacité du rovalpituzumab tesirine administré en association avec du nivolumab ou du nivolumab et de l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il y a deux types principaux de cancer du poumon non à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15 % des cancers du poumon diagnostiqués. Deux-tiers des patients sont diagnostiqués à un stade avancé avec un taux de survie à 2 ans de 5 %. Le rovalpituzumab est un anticorps monoclonal anti-DLL3 qui cible spécifiquement les cellules tumorales du cancer du poumon à petites cellules et qui a montré un effet cytotoxique prometteur dans les études précédentes. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’éfficacité du rovalpituzumab tesirine administré en association avec du nivolumab et de l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé. Les patients seront répartis en 3 groupes. Les patients du premier groupe recevront du rovalpituzumab tesirine et du nivolumab tous les 2 semaines pendant 2 semaines, répété après 1 semaine sans traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du rovalpituzumab tesirine, du nivolumab et de l’ipilimumab à faible dose tous les 2 semaines pendant 2 semaines lors de 3 semaines jusqu’à 4 cures. Les patients du troisième groupe recevront du rovalpituzumab, du nivolumab et de l’ipilimumab à forte dose toutes les 2 semaines pendant 2 semaines lors de cure de 3 semaines, jusqu’à 4 cures. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions